L’ÉTAT ACTUEL DE LA MAISON NÉSUTALE ZARIA-SHABAZZ [ANNÉE 301,628]

Au Nom d’Allah Le Bienfaiteur, Le Miséricordieux, venu en la Personne de Maître Fard Muhammad, à Qui toutes les gloires sont dues.

Comme chaque année depuis l’année 301,622 du calendrier Maure-Amexem, nous dressons l’état actualisé de la Maison Nésutale Zaria-Shabazz.

Pour cette année 301.628, quelques modifications sont à signaler. Tout d’abord relevons le changement de prédicat des sœurs et de la nièce, l’Amirite Emma, du Nésut et Sekhem-Bawantua Tahéruka. Dans le Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz, les Amirites Flavie, Évelyne, Fever et Emma portent désormais le prédicat d’Altesse Sérénissime (AS). Leur prédicat dans le Sekhem-Bawantuanat d’Alkébulan et Abzu restant inchangé. C’est par le Udyu-Nésut du 13 Kharo:Sim:Mah 301.628 que ces changements ont été actés.

Il nous faut également noter l’entrée dans la Maison Nésutale Zaria-Shabazz de deux amiris appartenant à la seconde branche cadette du Clan Wananga dont le Nésut est le Chef. Il s’agit notamment de SA&ER l’Amiri Stève, Amiri en Almandya-Zaria Wa Shabazz, Naga de Gribindy, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Chef de la 2nde branche cadette du Clan Wananga. Ainsi que de SA&ER l’Amiri Tony, Amiri en Almandya-Zaria Wa Shabazz, Naga de Dyebel, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Héritier-Présomptif de la 2nde branche cadette du Clan Wananga.

En effet, tous deux ont été créés amiris en Almandya-Zaria Wa Shabazz par le Udyu-Nésut du 20 Gir-Tab 301.628 qui les fait ainsi entrer dans l’ordre de succession du Trône de Geb. Précisons que d’entre les membres masculins du Clan Wananga, seuls les musulmans parmi eux peuvent être créés amiris dans la Maison Zaria-Shabazz.

LES MEMBRES DE LA FAMILLE NÉSUTALE

1. Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale (SMM&ER) Tahéruka Ier, Souverain du Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz, Sekhem-Bawantua d’Alkébu-lan et Abzu, Setep en Râ, Amiri des croyants, Kaut en Atona, Neb de Punt, Amiri de Nouvelle-Dankala, Syab de Yam, Patron des Ordres Nésutaux des Dyédys du Nésutat Almandya-Zaria Wa Shabazz, Protecteur des Arts et des Lettres.[301,617]

2. Sa Majesté Néférique et Excellence Royale (SMN&ER) Évodie, Könutenta du Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz, Sekhem-Bawantua Consort d’Alkébu-lan et Ab.zu, 3ème Nagate d’Alsabara, Nébet de Punt, 2ème Monkonzite de Gobongo, 3ème Uret-Néby de l’Ordre Könutental de Nut, Dyédyte-Sâbiq de l’Ordre des Dyédys-Nésut (ODN), Dyédyte-Ankhu de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB), Dyédyte-Ankhu de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,622]

3. Sa Majesté Néférique et Excellence Royale (SMN&ER) Médiour, Könutenta du Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz, Sekhem-Bawantua Consort d’Alkébu-lan et Ab.zu, Dyédyte du Château de Layène, Kandaké de Kalaaféré, Uret-Néby Emérite de l’Ordre Könutental de Nut, Dyédyte-Sâbiq de l’Ordre des Dyédys-Nésut (ODN), Dyédyte-Ankhu de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB), Dyédyte-Ankhu de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,617]

4. Son Altesse Nésutale et Excellence Royale (SAN&ER) la Manésut Indah d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Dyédite de Mala, Grande-Noble:Princesse d’Alkébulan et Abzu, Dyédite-Tâli de l’Ordre Könutental de Nut (OKN), Dyédite-Tâli de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB) et Uret-Dyédite de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,617]

5. Son Altesse Nésutale et Excellence Royale (SAN&ER) la Satnésut Zaria Serqet Mérytallah bint Tahéruka d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Amirite d’Aluwa, Grande-Noble:Princesse d’Alkébu-lan et Abzu, Kandaké de Kushi, Dyédyte-Nokhtuaa de l’Ordre des Dyédys-Nésut, Dyédite-Tâli de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB), Dyédite-Tâli de l’Ordre Könutental de Nut (OKN) et Uret-Dyédite de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,623]

6. Son Altesse Nésutale et Excellence Royale (SAN&ER) la Satnésut Ing’élé Azuba Mérytatona bint Tahéruka d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Amirite d’Alashiya, Grande-Noble:Princesse d’Alkébu-lan et Abzu, Kandaké de Sangiga, Dyédite-Tâli de l’Ordre Könutental de Nut (OKN), Dyédite-Tâli de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB) et Uret-Dyédite de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,625]

7. Son Altesse Nésutale et Excellence Royale (SAN&ER) la Satnésut Indah Wandyna Satrâ bint Tahéruka d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Amirite d’Uluru, Grande-Noble:Princesse d’Alkébu-lan et Abzu, Kandaké de Garama, Dyédite-Tâli de l’Ordre Könutental de Nut (OKN), Dyédite-Tâli de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB) et Uret-Dyédite de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,627]

8. Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) le Dyédysua Nésut Skarow Ibrahim d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Naga de Dékoa, Amiri de Nagada, Askia d’Imakhu Dyéhuty, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Kandaké d’Hoba, Ur-Néby de l’Ordre des Dyédys-Nésut, Dyédy-Ankhu de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB), Dyédy-Ankhu de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS), Master-Captain de l’Agence Nésutale des Services d’Urgence (ANSU), Lieutenant-Commander des Forces Impériales des Douanes (FID). [301,617]

9. Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amiri Latif d’Almandya-Zaria Wa Shabazzet d’Alkébu-lan et Ab.zu, Naga de Gödö, Amiri de Gematona, Askia d’Anak, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Kandaké de Larak, Dyédy-Sabiq de l’Ordre des Dyédys-Nésut, Dyédy-Ankhu de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB), Dyédy-Ankhu de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS), Lieutenant-Commander des Forces Impériales des Douanes (FID). [301,617]

10. Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amirite Flavie d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Syabate de Nysa, Grande-Noble:Princesse d’Alkébulan et Abzu, Dyédite-Tâli de l’Ordre Könutental de Nut (OKN), Dyédite-Tâli de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB) et Uret-Dyédite de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,617]

11. Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amirite Évelyne d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Grande-Noble:Princesse d’Alkébulan et Abzu, Dyédite-Tâli de l’Ordre Könutental de Nut (OKN), Dyédite-Tâli de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB) et Uret-Dyédite de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,617]

12. Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amirite Fever d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébulan et Abzu, Grande-Noble:Princesse d’Alkébu-lan et Ab.zu, Dyédite-Tâli de l’Ordre Könutental de Nut (OKN), Dyédite-Tâli de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB) et Uret-Dyédite de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,627]

13. Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amirite Emma d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Grande-Noble:Princesse d’Alkébulan et Abzu, Dyédite-Tâli de l’Ordre Könutental de Nut (OKN), Dyédite-Tâli de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB) et Uret-Dyédite de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301,617]

14. Son Altesse et Excellence Royale (SA&ER) l’Amiri Steve, Amiri en Almandya-Zaria Wa Shabazz, Naga de Grinbinzi, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Dyédy-Ken de l’Ordre Nésutal de Bès, Dyédy-Wau de l’Ordre des Dyédys-Nésut (ODN), Dyédy-Asébi de l’Ordre Nésutal du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301.628]

15. Son Altesse et Excellence Royale(SA&ER) l’Amiri Tony, Amiri en Almandya-Zaria Wa Shabazz, Naga de Dyebel, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Dyédy-Ken de l’Ordre Nésutal de Bès, Dyédy-Wau de l’Ordre des Dyédys-Nésut (ODN), Dyédy-Asébi de l’Ordre Nésutal du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301.628]

LA LIGNE DE SUCCESSION

L’actuel héritier présomptif du Trône de Geb est Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) le Dyédysua Nésut Skarow Ibrahim d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Naga de Dékoa, Amiri de Nagada, Askia d’Imakhu Dyéhuty, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Kandaké d’Hoba, Ur-Néby de l’Ordre des Dyédys-Nésut, Dyédy-Ankhu de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB), Dyédy-Ankhu de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS), Master-Captain de l’Agence Nésutale des Services d’Urgence (ANSU), Lieutenant-Commander des Forces Impériales des Douanes (FID). [301,617]

Le second dans la ligne de succession du Trône de Geb est Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amiri Latif d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Naga de Gödö, Amiri de Gematona, Askia d’Anak, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Kandaké de Larak, Dyédy-Sabiq de l’Ordre des Dyédys-Nésut, Dyédy-Ankhu de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB), Dyédy-Ankhu de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS), Lieutenant-Commander des Forces Impériales des Douanes (FID). [301,617]

Le troisième dans la ligne de succession du Trône de Geb est Son Altesse et Excellence Royale (SA&ER) l’Amiri Steve, Amiri en Almandya-Zaria Wa Shabazz, Naga de Grinbinzi, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Dyédy-Ken de l’Ordre Nésutal de Bès, Dyédy-Wau de l’Ordre des Dyédys-Nésut (ODN), Dyédy-Asébi de l’Ordre Nésutal du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS). [301.628]

Le quatrième dans la ligne de succession du Trône de Geb est Son Altesse et Excellence Royale(SA&ER) l’Amiri Tony, Amiri en Almandya-Zaria Wa Shabazz, Naga de Dyebel, Grand-Noble:Prince d’Alkébulan et Abzu, Dyédy-Ken de l’Ordre Nésutal de Bès, Dyédy-Wau de l’Ordre des Dyédys-Nésut (ODN), Dyédy-Asébi de l’Ordre Nésutal du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS).[301.628]

La succession sur le Trône de Geb étant agnatique par primogéniture mâle.

Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale Tahéruka Ier, Nésut d’Almandya-Zaria Wa Shabazz, Sékhem-Bawantua d’Alkébu-lan et Abzu

Fait à l’Ipet Nésut le 16 Suhar-Mash 301,628

UDYU-NÉSUT PORTANT CREATION D’AMIRIS DE LA MAISON NÉSUTALE D’ALMANDYA-ZARIA WA SHABAZZ ET DU SEKHEM-BAWANTUANAT D’ALKÉBULAN ET ABZU

Vu la Restauration du Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz en l’an de grâce 301.617;
Vu Hépous codifiant la Noblesse Zariate-shabazz ;
Vu le Décret-Impérial portant création du Sekhem-Bawantua d’Alkébulan et Abzu ;

Le Nésut et Sekhem-Bawantua Tahéruka 1er,

ORDONNE

Article 1er :
Les cousins germains de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale (SMM&ER) Tahéruka 1er, issus de la deuxième branche cadette du Clan Wananga et dont les noms suivent sont créés Amiri en Almandya-Zaria Wa Shabazz et Grands-Nobles Princes d’Alkébulan et Abzu :

▪️Pakara Stève OUANANGA, Chef de la 2nde branche cadette du Clan WANANGA ;
▪️Pakara Tony OUANANGA.
Le titre subsidiaire de Pakara Steve OUANANGA étant Naga de Grinbinzi.
Le titre subsidiaire de Pakara Tony OUANANGA étant Naga de Dyébel.

Article 2 :
Ils bénéficient des prédicats d’Altesse dans le Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Excellence Royale dans le Sekhem-Bawantuanat d’Alkébulan et Abzu.

Article 3 :
Ils sont honorés des décorations des ordres nésutaux suivantes :
▪️Dyédys-Ken de l’Ordre Nésutal de Bès (ONB),
▪️Dyédys-Wau de l’Ordre des Dyédys-Nésut (ODN)
▪️Dyédys-Asébi de l’Ordre National du Mérite Zariate-Shabazz (ONMZS);

Article 4 :
Leur titulature est désormais :
▪️Son Altesse et Excellence Royale (SA&ER) l’Amiri Steve, Amiri en Almandya-Zaria, Naga de Grinbinzi, Grand-Noble Prince d’Alkébulan et Abzu, Dyédy-Ken de l’Ordre Nésutal de Bès, Dyédy-Wau de l’Ordre des Dyédys-Nésut (ODN), Dyédy-Asébi de l’Ordre Nésutal du Mérite Zariate-Shabazz.

▪️Son Altesse et Excellence Royale(SA&ER) l’Amiri Tony, Amiri en Almandya-Zaria, Naga de Dyebel, Grand-Noble Prince d’Alkébulan et Abzu, Dyédy-Ken de l’Ordre Nésutal de Bès, Dyédy-Wau de l’Ordre des Dyédys-Nésut (ODN), Dyédy-Asébi de l’Ordre Nésutal du Mérite Zariate-Shabazz.

Article 5 :
Ce Udyu-Nésut prend effet à compter de la date de sa signature. Il sera publié dans les journaux officiels du Nésutat d’Almadya-Zaria Wa Shabazz et du sekhem-Bawantuanat d’Alkébulan et Abzu.

Fait à Tubangi le 20 Gir-Tab 301.628

SMM&ER TAHÉRUKA 1er

Nésut d’Almandya-Zaria Wa
Sekhem-Bawantua d’Alkébulan et Abzu

UNE VUE NUMÉRISÉE DU QASR IPET-NÉSUT ZARIA-SHABAZZ, PALAIS ROYALE DU SOUVERAIN DU NÉSUTAT D’ALMANDYA-ZARIA WA SHABAZZ ET DU SÉKHÉMAT D’ALKÉBULAN ET ABZU

Entrée du Qasr Ipet-Nésut Zaria-Shabazz, palais royal et principale résidence de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale (SMM&ER) le Nésut et Sekhem-Bawantua Tahéruka 1er, à Firdaws-Niutallāh la capitale du Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz.

Firdaws-Niutallāh est la capitale du Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz, située dans le district alkebulanais d’Al-Sabara. Cette ville est remarquablement fortifiée et est nichée dans une belle vallée traversée par un fleuve avec un port de pêche.

Vue panoramique et aérienne

L’architecture locale est dominée par des maisons construites en briques cuites selon le style de voûte nubienne, ce qui crée une atmosphère chaleureuse et authentique. Les jardins maures ajoutent une touche de verdure, avec des fontaines propices à la détente. Les marchés aux fruits et légumes offrent une abondance de produits frais, ajoutant de la couleur et de l’animation à la vie quotidienne des habitants.

Un point de repère important à Firdaws-Niutallāh est le Qasr Ipet-Nésut, résidence du Nésut et Sekhem-Bawantua Tahéruka Ier. Avec son architecture imposante et son importance symbolique, ce château est un symbole de pouvoir et de prestige.

Un marché de la ville

Les habitants et les visiteurs peuvent profiter des magnifiques paysages naturels, de l’atmosphère historique et de la richesse culturelle de cette ville africaine dynamique et captivante.

Secrétariat Particulier de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale Tahéruka Ier, Nésut d’Al-Mandya : Wa : Shabazz et Sekhem-Bawantua d’Alkébu-lan et Ab.Zu.

LA LÉGENDE DU PRINCE ĀLARA ET DE LA PRINCESSE ĀLLIYAH

Le dragon Izéfèth contre le Prince Ālara et la Princesse Ālliyah

Littérature fantastique autour du Nésutat d’Almandya Zaria Wa Shabazz. Bonne lecture.

Il était une fois, un royaume ancestral, prospère et mystérieux, appelé le Nésutat d’Almandya-Zaria-Wa-Shabazz. Cette contrée reculée en plein cœur du Sékhémat d’Alkébulan et Abzu était un lieu où la magie et la richesse culturelle se mêlaient pour créer un monde enchanté. Au cœur de ce royaume, le souverain ou, pour utiliser un terme autochtone, le nésut, Amény IV dit le Régulateur, régnait avec sagesse et bienveillance, guidé en cela par la connaissance, la sagesse et la compréhension directement issues de la source de la doctrine traditionnelle. À cette époque, les vingt-quatre membres de l’Assemblée Divine ainsi que leur cour ne manquaient pas de se manifester aux yeux des habitants du palais magistral de l’Ipet-Nésut à Firdaws-Niutallāh, surtout pour assister au banquet annuel donné pour la célébration du nouvel an chaque 1er Ku-Mal.

Lui-même, le nésut Amény IV le Régulateur, était fort apprécié de ses sujets, redouté de ses ennemis et connu non seulement pour sa légendaire bravoure mais surtout par sa volonté de fer de protéger coûte que coûte le royaume hérité de ses ancêtres contre tous ces dangers tapis dans l’ombre et qui ne demandaient qu’à voir le jour. Les armées de son nésutat étaient constituées de guerriers vaillants, formés dans des arts martiaux anciens et dotés de connaissances magiques avancées. Leur force était légendaire et ils étaient formatés pour défendre et préserver l’intégrité du territoire nésutal ainsi que la royauté. Mais même avec leur puissance, il y avait une menace plus grande qui planait sur le Nésutat : le redoutable dragon maléfique Izéfèth.

En effet, ce monstre s’était réveillé de son sommeil millénaire et terrorisait le Nésutat avec sa fureur destructrice. Il était gigantesque, avec des écailles sombres et scintillantes. Sa peau était couverte de tatouages mystiques, et ses yeux noirs étaient perçants, pleins de haine et de méchanceté. Il faisait trembler le ciel quand il volait, ses ailes s’étendant comme une ombre maléfique sur le ciel. Izéfèth était un ardent défenseur de la magie maléfique, et il s’en servait pour terroriser et menacer le nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz. Il avait l’intention de détruire ce beau royaume et tous ceux qui y vivaient. Chaque nuit, il survolait les villages et les villes en crachant des flammes et en déchaînant des tempêtes. Les habitants tremblaient de peur devant sa puissance maléfique. Izéfèth était, et est encore, le grand ennemi d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et de ses habitants. Il est impossible de se défaire de lui, et il menace sans cesse de détruire leur nésutat.

Mais heureusement qu’à la tête des forces spéciales des armées d’Almandya-Zaria Wa Shabazz se trouvait le prince Ālara. Accompagné de ses guerriers les plus courageux, il se lança dans une quête périlleuse pour trouver un moyen de vaincre Izéfèthle dragon. Ils traversèrent des contrées inexplorées, découvrant des merveilles et affrontant des dangers insoupçonnés. Leur périple les conduisit jusqu’à un temple initiatique, un lieu sacré gardé par les anciens sages du royaume. Dans ce temple, le prince Ālara, commandant en chef des forces spéciales, donc du bataillon Khépéru, fut confronté à des phénomènes qui mettaient à l’épreuve son courage, sa détermination et sa capacité à maîtriser la magie.

Pendant ce temps, la princesse Ālliyah se retrouva plongée dans une aventure personnelle, où elle rencontra des pygmées qui vivaient dans les profondeurs du Nésutat, dans la province extrême-méridionale de Dénéguie. Ces êtres petits de taille, habitants de la forêts, étaient passés maîtres dans les sciences psychiques et la manipulation des forces naturelles du monde subtil. Ils l’aidèrent à mieux maîtriser ses propres capacités mystiques augmentant ainsi la gamme de ses pouvoirs sur la nature.

Finalement, le prince Ālara et la princesse Ālliyah se retrouvèrent face à face avec Izéfèth, prêts à tout risquer pour sauver le Nésutat. Ce fut une bataille épique, mettant à l’épreuve leur courage et leur détermination. Grâce à la magie qu’ils avaient apprise, ils parvinrent à blesser très grièvement le dragon maléfique. C’est à ce moment fatidique qu’arriva à la rescousse l’armée nésutale avec à sa tête le souverain Āmény IV le Régulateur. Il tira de son fourreau une épée magique et chargea dans la bataille, suivi de près par ses soldats. La lutte fut mémorable et la victoire fut complète contre le dragon maléfique Izéfèth. Le Nésutat put enfin se réjouir, car libéré de la terrible menace du monstre.

La victoire ouvrit la voie à une ère de paix et de prospérité pour le Nésutat. Le Nésut ordonna à ses serviteurs de construire un mausolée sur le lieu où Izéfèth le dragon maléfique avait été vaincu pour qu’on n’oublie jamais cette bataille historique. Il nomma ce lieu le « Monument de la victoire », et les habitants s’y rassemblèrent chaque année pour honorer et célébrer leur héroïsme. Bientôt le monstre ne fut plus qu’un mauvais souvenir pour les zariate-shabazz.

Les guerriers du royaume continuèrent à se consacrer à la protection de leur terre, avec à leur tête le prince Ālara, tandis que la princesse Ālliyah fit en sorte que les enseignements du temple initiatique et les connaissances des pygmées soient transmis aux générations futures, permettant ainsi au royaume de perdurer.

Et l’histoire du Nésutat, avec ses héros et ses légendes, fut gravée dans les mémoires, inspirant les générations à venir à croire en leur force intérieur, en la persévérance et à la conquête permanente de soi.

À suivre…

ANNIVERSAIRE DE SON ALTESSE SÉRÉNISSIME ET EXCELLENCE ROYALE (SAS&ER) L’AMIRITE FLAVIE D’ALMANDYA-ZARIA WA SHABAZZ

Au nom d’Allāh, Le Bienfaiteur, Le Miséricordieux, venu en la personne de Maître Fard Muhammad à Qui toutes les gloires sont dues pour des siècles et des siècles.

Aujourd’hui, en ce 22 Ur-Gula 301.628 (09 Août 2023), nous célébrons un événement extraordinaire : le quarantième anniversaire de Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amirite Flavie d’Almandya-Zaria-Wa-Shabazz, Syabate de Nysa, Grande-Noble Princesse d’Alkébulan-et-Abzu. En sa qualité de sœur cadette de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale (SMM&ER) le Nésut et Sekhem-Bawantua Tahéruka 1er, elle incarne à n’en pas douter la noblesse et la grandeur de sa lignée.

Ce jour est l’occasion pour nous de rendre hommage à une femme exceptionnelle, dont la présence illumine notre monde. SAS&ER l’Amirite Flavie d’Almandya-Zaria-Wa-Shabazz est une figure inspirante, qui a su allier grâce et détermination tout au long de sa vie. Son engagement envers sa Maison est inébranlable, et son dévouement envers les causes humanitaires est admirable.

En tant que Grande-Noble Princesse d’Alkébulan-et-Abzu, SAS&ER l’Amirite Flavie d’Almandya-Zaria-Wa-Shabazz a œuvré sans relâche pour promouvoir l’éducation, la santé et le bien-être de ses concitoyens. Son leadership éclairé et sa vision progressiste ont permis de mettre en place des initiatives novatrices, visant à améliorer la qualité de vie de tous.

Au-delà de ses responsabilités officielles, SAS&ER l’Amirite Flavie d’Almandya-Zaria-Wa-Shabazz est également une femme d’une grande générosité et d’une profonde bienveillance. Elle a consacré une partie de sa vie à soutenir des organisations caritatives, offrant ainsi une lueur d’espoir à ceux qui en ont le plus besoin.

En ce jour spécial, nous souhaitons exprimer notre gratitude envers SAS&ER l’Amirite Flavie d’Almandya-Zaria-Wa-Shabazz pour son dévouement et son engagement envers son illustre Maison. Son leadership exemplaire et son charisme ont fait d’elle une véritable icône, et nous sommes honorés de pouvoir célébrer ce quarantième anniversaire à ses côtés.

Que cette journée soit emplie de joie, de bonheur et de réussite pour SAS&ER l’Amirite Flavie d’Almandya-Zaria-Wa-Shabazz. Puissent ses actions continuer d’inspirer les générations futures et de laisser une empreinte indélébile dans l’histoire de notre nation.

Joyeux anniversaire, Votre Altesse Sérénissime et Excellence Royale Amirite Flavie d’Almandya-Zaria-Wa-Shabazz !

Fait à Tubangi le 22 Ur-Gula 301,628

Secrétariat Particulier de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale Tahéruka Ier, Nésut d’Al-Mandya : Wa : Shabazz et Sekhem-Bawantua d’Alkébu-lan et Ab.Zu.

UDYU-NÉSUT PORTANT OCTROI DU PRÉDICAT D’ALTESSE SÉRÉNISSIME À DES AMIRITES D’ALMANDYA-ZARIA WA SHABAZZ

Depuis la date du 13 Kharo:Sim:Mah 301.628, jour du 146ème Saviours’ Day de la Nation Of Islam et jour anniversaire de l’Amirite Évelyne qui fêtait ses trente-huit ans, Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale le Nésut et Sekhem-Bawantua Tahéruka Ier a accordé à Ses soeurs, LL.AA.&EE.RR. les Amirites Flavie, Evelyne et Fever ainsi qu’à sa nièce SA&ER l’Amirite Emma, le prédicat d’Altesse Sérénissime dans le Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz. Elles conservent toutes les quatre leur prédicat d’Excellence Royale du Sékhémat d’Alkébulan et Abzu (Secteur 4 de l’Empire-Maure-Amexem).

Leur prédicat complet est désormais Altesse Sérénissime et Excellence Royale (AS&ER) :

Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amirite Flavie d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Syabate de Nysa, Grande-Noble Princesse d’Alkébulan et Abzu.

Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amirite Emma d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Grande-Noble Princesse d’Alkébulan et Abzu.

Son Altesse Sérénissime et Excellence Royale (SAS&ER) l’Amirite Fever d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébulan et Abzu, Grande-Noble Princesse d’Alkébu-lan et Ab.zu.

Son Altesse Sérénissime Nésutale (SAS&ER) l’Amirite Emma d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et d’Alkébu-lan et Ab.zu, Grande-Noble Princesse d’Alkébulan et Abzu.

Fait à Tubangi le 11 Dub 301,628

Secrétariat Particulier de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale Tahéruka Ier, Nésut d’Al-Mandya : Wa : Shabazz et Sekhem-Bawantua d’Alkébu-lan et Ab.Zu.

SA MAJESTÉ IMPÉRIALE AN-ANU-EL:BEY, BUR-FARI DE L’EMPIRE MAURE AMEXEM SOUHAITE UNE BONNE ANNÉE 301.628 À TOUS LES MAURES À TRAVERS LE GLOBE

Sa Majesté Impériale l’Empereur An-Anu-El :Bey, Bey de Greater-Amexem qui inclut l’Atlantique et les Îles de l’Atlantique, Bey d’Alkebu-lan et Ab.Zu, Bey de Cush-Harappa qui comprend Dwaraka et Cusharappasi, Bey de Kumari-Kandam. Le Souverain de l’Empire-Maure-Amexem se trouve ici dans la Capitale Impériale, Agadé-Médina.

SMI l’Empereur An-Anu-El:Bey

Au nom d’Allah (SWT), Le Bienfaiteur, Le Miséricordieux, venu en la Personne de Maître Fard Muhammad, à Qui toutes les gloires sont dues pour des siècles et des siècles.

Sa Majesté Impériale (SMI) le Bur-Fari An-Anu-El:Bey, comme le veut la tradition, a présenté ses vœux du 1er Ku-Mal (301.628) du calendrier maure-amexem correspondant au 21 Mars (2023) et célébrant le nouvel an. Il a, par ailleurs, appelé de ses vœux à ce que chacun puisse évoluer et s’épanouir individuellement comme collectivement dans l’honneur, la connaissance, la sagesse, la compréhension ainsi que l’abondance de positivité. Et ce malgré, la morosité économique ambiante.

Avant de dérouler son ambitieux programme pour améliorer les conditions de vie des Maures, via les douze ministères du Gouvernement Imperial d’Agade-Médina et les trente-neuf sous-départements ministériels, le Bur-Fari de l’Empire Maure Amexem a rappelé le devoir, l’obligation et la responsabilité qui sont les siens à l’égard de ceux qu’Il sert consciemment. Et ce, afin de mettre fin définitivement au classissime, au système de castes et à la marginalisation dont sont victimes essentiellement les membres du peuple originel à travers le globe.

SMI l’Empereur An-Anu-El:Bey a conclus son propos en nous invitant tous à nous prendre en main afin de « construire notre propre avenir loin des colonisateurs hostiles et de leurs marionnettes du peuple originel ». Un message qui résonne avec écho dans le Nésutat qui est en proie à la cupidité et la voracité des mercenaires russes de l’organisation criminelle transnationale Wagner.

Par ailleurs, signalons que Sa Majesté Magistrale Nesut d’Almandya-Zaria Wa Shabazz et Sekhem-Bawantua d’Alkébulan et Abzu, Tahéruka 1er, a échangé sur une ligne sécurisée avec Sa Majesté l’Empereur à l’occasion de cette célébration du nouvel 301.628

Fait à Tubangi le 2 Ku-Mal 301,628

Secrétariat Particulier de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale Tahéruka Ier, Nésut d’Al-Mandya : Wa : Shabazz et Sekhem-Bawantua d’Alkébu-lan et Ab.Zu.

Lien des voeux de SMI l’Empereur An-Anu-El :Bey = https://modern-moor-monarchy.squarespace.com/imperial/from-the-bey-of-the-greater-amexem-alkebu-lan-and-abzu-cush-harappa-and-greater-asia-amexem-moor-empire-constitutional-monarch-grand-sultan-an-anu-el-beynbspnbsp?fbclid=IwAR0jmRa39l9ccsTtza7ZsbJb7LEsYOns9eBAnZydI9oz6j18Tz_S4hczveo

JOURNÉE INTERNATIONALE DES FORÊTS 301,628 : SMM&ER TAHÉRUKA 1er EN BALADE DANS LA FORÊT DE L’IPET-NÉSUT ZARIA-SHABAZZ

SMM&ER TAHÉRUKA 1ER D’ALMANDYA-ZARIA WA SHABAZZ ET D’ALKÉBULAN ET ABZU DANS LA FORÊT DU PALAIS NÉSUTAL

Le 1er ku-Mal (21 Mars), Journée Internationale des Forêts (JIF), est une occasion pour le Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz de célébrer chaque année la forêt, l’arbre et le bois, et de sensibiliser le public à la multifonctionnalité des forêts comme à la gestion durable et au rôle environnemental des forêts.

Au-delà de l’intérêt écologique évident d’usines de dépollution de nos eaux, de nos sols et de notre air qui pour le moment est assez préservé des pollutions industrielles, les forêts sont pour nous des espaces de repos, de promenade et de loisirs.

L’ipet-Nésut Zaria-Shabazz a le privilège de disposer d’une vaste forêt naturelle non cultivée et réservée à plusieurs activités sylvicoles comme à la chasse et à la pêche.

Fait à Tubangi le 1er ku-Mal 301,628

Secrétariat Particulier de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale Tahéruka Ier, Nésut d’Al-Mandya : Wa : Shabazz et Sekhem-Bawantua d’Alkébu-lan et Ab.Zu.

QUARANTE-CINQUIÈME ANNIVERSAIRE DE SMM&ER TAHÉRUKA 1ER

Ipet-Nésut/Tubangi – En ce Rightday 28 Gu 301,627 CMA (Samedi 11 février 2023) l’ensemble du Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz ainsi que du Sékhémat d’Alkébulan et Abzu se joint à l’Illustrissime Maison Nésutale et Sékhémale Zaria-Shabazz pour souhaiter un très joyeux quarante-cinquième anniversaire à Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale (SMM&ER) Tahéruka 1er.
Cet heureux événement a été une très belle occasion pour tout un chacun d’exprimer ses chaleureuses félicitations et sincères vœux de bonheur et de longue vie à Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale (SMM&ER) Tahéruka 1er (Vie-Force-Santé), à Sa Majesté Néférique et Excellence Royales (SMN&ER) la Könutenta et Sekhem-Bawantua-Consort Évodie (Vie-Force-Santé), à Leurs Altesses Nésutales et Excellences Royales (LL.AA.NN.&EE.RR.) les Sautnésut Zaria d’Aluwa, Ing’élé d’Alashiya et Wandyna d’Uluru ainsi qu’à l’ensemble des membres de l’Illustrissime Famille Nésutale.

En effet, SMM&ER Tahéruka 1er est né un samedi de 28 Gu de l’année 301,582 à Dékoa (District d’Alsabara) sous le règne de Sa Majesté Impériale (SMI) l’Empereur Bokassa 1er de Centrafrique, il y a près d’un demi-siècle. D’habitude, cette cérémonie est célébrée dans une ambiance plutôt joyeuse et pleine d’allégresse. Mais depuis trois ans, au moins, que dure le combat pour la libération des terres ancestrales sous le joug de mercenaires russes au service de l’impitoyable dictature de l’homme de Mandjo à la tête de la fiction juridique qu’est la République centrafricaine, les effusions de joie sont plus modestes. Et ce, simplement en attendant patiemment mais activement des moments plus propices aux grandes festivités.

Fait à Tubangi le 11 Kharo:Sim:Mah 301,627

Secrétariat Particulier de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale Tahéruka Ier, Nésut d’Al-Mandya : Wa : Shabazz et Sekhem-Bawantua d’Alkébu-lan et Ab.Zu.

LES DIX ANS DE LA RESTAURATION DU NÉSUTAT D’ALMANDYA-ZARIA WA SHABAZZ (PARTIE 1 : DE L’AN 301.405 à L’ANNÉE 301.616)

En 301.627 nous célébrons, en différé, le dixième anniversaire de la restauration du Nésutat d’Almandya-Zaria Wa Shabazz. Dans une interview accordée, le 08 Anu:Ab-Sin 301.619 (25 Août 2014), au blog de SAR Husia Tahéruka Shabazz, 1ère Comtesse d’Alsabara, alors épouse de Sa Majesté Magistrale Tahéruka 1er, le Chef de la Maison Nésutale Zaria-Shabazz revenait sur l’historique de cette restauration en nous replongeant aux origines des chefferies Mandya installées dans le district d’Al-Sabara autour des années 301.405 (1800).

Si incontestablement leur installation fut très pacifique suivie aussitôt de plus d’un demi-siècle d’une remarquable prospérité et d’une démographie importante, l’Histoire semble s’emballer à partir les années 301.485 (1880) avec en toile de fond la montée en puissance des armées de Rābah Az-Zubayr Ibn Fadlallāh dans la région du bassin du Chari et ce depuis le sud-ouest de l’actuel Soudan jusqu’à l’est de l’actuel Nigeria. Armées qui, pour vivre, pratiquaient la rapine et s’adonnaient outrageusement aux razzias alimentant de ce fait les marchés d’esclaves de Méditerranée orientale (Empire Ottoman), de la Corne de l’Afrique et de la péninsule arabique.

Aujourd’hui en l’an 301.627, les Mandya célèbrent et commémorent deux dates majeurs de leur Histoire en rapport avec cette période troublée : les 222 ans de leur installation sur le territoire actuel dans le District d’Al-Sabara, et les 137 ans de la Bataille de Kaga-Kazangba qui a vu le triomphe des armées coalisées des chefferies mandya sur les troupes du seigneur de guerre et chef de razzia, Rābah Az-Zubayr Ibn Fadlallāh.

Eric de Dampierre dans son ouvrage « Des ennemis, des Arabes, des histoires », à la page 38, revient sur cette résistance héroïque : « Toujours est-il que selon le Mandja Mba, chef du clan Boufourou, c’est au cours de cet hiver que Rābih envahit le pays mandja, avec le quatrième ban (Hasān al-Wakīl) et le sixième ban (Gatem). Les Mandja s’étaient réfugiés dans les chaos rocheux du Kaga-Kazangba (6°30′ N/18°35′ E [?], alt. 645m) et conduisirent fort bien leur défense. Excellents archers, experts au tir courbe, leurs arcs de guerre pouvaient tirer jusqu’à 100m, ils contraignirent Rābih -grièvement blessé d’une flèche à la poitrine, ainsi que Hasān de deux flèches au bras et à la cuisse- à la retraite (Gaud 96, 468, 472). Ce fut sa deuxième défaite sévère en pays oubanguien. C’est dans cette même forteresse naturelle que les Mandja défièrent en 1903 l’administrateur Toqué (138-144, 201)« 

Malgré, cette victoire éclatante contre la puissance montante de la région, cet événement marquera, néanmoins, le début de la fin de la période de paix et de prospérité de la société mandya qui, après la menace des razzias originaire de l’est, dut faire face aux coups de butoir des armées coloniales françaises venues de la côte Atlantique, précisément des côtes du Royaume Loango, alors sous protectorat de la troisième République française.

Le grand fléau que les colons français apportèrent avec eux fut celui du portage qui sonnera plein essor. Le portage a provoqué de grands malheurs en terre mandya : rapine, enlèvement, emprisonnement, séquestration, famine, abandon et destruction de villages, effacement de l’identité culturelle, épuration ethnique, dépeuplement, exode et mort. Or, il se trouve que le pays mandya est localisé dans l’espace reliant la cuvette du Congo au bassin du Chari. Étant donné que la France coloniale rêvait alors d’obtenir et d’établir une autorité sans partage sur un territoire d’un seul tenant allant d’Alger à Brazzaville, elle a imposé au pays mandya de devenir, par la violence, une zone de portage de leurs charges (bateaux en pièces détachées, armes, munitions, logistique, alimentation,…) ainsi que des colons eux-mêmes pour relier les deux bassins fluviaux de l’Oubangui au sud et du Chari au nord.

La première fois que des colons pénétrèrent en pays Mandya ce fut par l’entrefait d’une mission commandée par Casimir Maistre (301.472-301.562/1867-1957) qui installa ses relais militaires aux villages de Krebedye (301.500/1895) que les colons nommèrent Fort-Sibut, et de Kaga-Bandoro (301.502/1897) à qui ils donnèrent le nom de Fort-Crampel. À partir de là, la vie des Mandya qui était si paisible, si agréable se transforma en un véritable cauchemar à ciel ouvert. En témoigne même le rapport de l’agent colonial raciste, criminel et fils de diable Fernand Gaud qui, le 26 Dub 301.508 (14 juillet 1903), lors de la fête nationale française, fit exploser à la dynamite un jeune Mandya qu’il accuse d’avoir fourni des informations stratégiques aux résistants mandya lors d’un guet-apens contre ces mêmes colons français :
« Pendant que Chevalier effectuait des reconnaissances, je gagnais Gribingui par la route, en traversant ces régions jadis florissantes et populeuses de Fort Sibut à Fort Crampel. Actuellement, c’est un pays dévasté. Les Mandjas l’habitaient, ils ont été détruits ou dispersés » (Fernand Gaud et Cyrille van Overbergh, « Les Mandjas« , p.488, 1911).

Livré à l’exploitation des sociétés concessionnaires qui mirent la région de Haut-Chari en coupe réglée et écrasèrent les populations par un système fiscal infernal « le pays Mandja, reconnaît le Bulletin de la Bibliothèque de France, [a] été ravagé par le portage et la lutte contre les Français, situation que constate [Pierre Savorgnan de] Brazza au cours de la dernière mission de 1904« . Pierre Kalck, historien français et ami intime de Barthélémy Boganda le Père-fondateur de la République centrafricaine, dans son « Histoire de la République Centrafricaine » (1974) précise pour sa part que Brazza, plus que le « ravage », a constaté carrément « la ruine du pays mandjia par le portage, situation bien connue du ministre [des colonies], informé par Gentil et par le mémoire Toqué » (p.193). Le principal intéressé, Pierre Savorgnan de Brazza, alerté par les rapports apocalyptiques au sujet du pays Mandya repris par la presse métropolitaine, ira jusqu’à se rendra lui-même sur place pour une enquête administrative accompagnée d’une délégation officielle composée de Charles Hoarau-Desruisseaux, inspecteur général des colonies, de Félicien Challaye, jeune agrégé de philosophie qui représente le ministre de l’instruction publique, d’un membre du Cabinet des colonies et d’un délégué du ministre des affaires étrangères. Pierre Savorgnan de Brazza aura alors ce commentaire consigné dans son rapport : « Toute ma vie, je garderai la tristesse d’avoir vu de mes yeux, un enfer réel« . Les camps de concentration de femmes et d’enfants Mandya pris en otage pour contraindre les hommes Mandya à accepter les travaux forcés du portage l’ont moralement écoeuré. André Gide, l’écrivain français et Prix Nobel de Littérature, qui se rendra en pays Mandya près de 20 ans après Pierre de Savorgnan de Brazza parlera pour sa part de la « plus noire misère » concernant la situation des Mandya fauchés par le portage.

Dans « Réalités oubanguiennes » (1959), l’historien français Pierre Kalck après avoir consulté tous les rapports des années 301.505 (1900), confirme avec force que « parmi tous les peuples d’Oubangui, ce furent les Mandjia qui supportèrent le fardeau le plus lourd du portage » (p. 112). Le pays était même militairement quadrillé pour empêcher les exodes, les fuites et les migrations des Mandya décidés à s’échapper de ce capharnaüm et des camps de concentration. C’est ce qui ressort d’un rapport de l’administration coloniale de l’année 301.507 (1902) :
« Refoulés partout au Nord, à l’Ouest, à l’Est et au Sud par nos petits postes « manu militari » pour s’opposer à leur exode en masse au-delà de la Fafa et de l’Ouham, le Mandja reste caché, comme un solitaire traqué, dans un coin de brousse, ou se réfugie dans les cavernes de quelques Kafa inaccessibles, devenant troglodyte« . Le même rapport de l’année 301.507 (1902) poursuit en précisant que les Mandya face à ce chaos « préfèrent tout, actuellement, même la mort au portage… Depuis plus d’un an la dispersion des tribus a commencé. Les villages se désagrègent, les familles s’égaillent, chacun abandonne sa tribu, son village, sa famille et ses plantations, va vivre dans la brousse comme un fauve traqué« 

« Le mouvement sociologique international (volume 11, partie 1) » édité par l’Office international de bibliographie (1911) parle de la destruction de l’entité politique mandya par ce tsunami historique provoqué par l’irruption en terre équatoriale de l’idéologie colonialiste : « L’horreur du portage fut plus forte que l’autorité, la tradition et tout. Le portage fit, en somme, sauter le groupement politique Mandja et ce ne fut pas un de ses moindres méfaits. La portée de cette conséquence est considérable« . Cette tentative manifeste d’effacement physique, culturel et identitaire du peuple Mandya devait conduire inéluctablement à une farouche opposition contre la pénétration coloniale et à une résistance héroïque pour sauver ce qui pouvait encore l’être. Yarisse Zoctizouni, dans son « Histoire de la Centrafrique : 1879-1959 » (1983), relève le climat insurrectionnel caractéristique du peuple Mandya entré en révolte généralisée dès l’année 301.507 (1902) pour livrer contre les Français une féroce guérilla qui durera quatre ans et qui inspira d’autres révoltes anti-coloniales sur tout le continent comme plus tard chez les Zoulous en Azanie ou encore chez les populations Gbaya de l’ouest de l’Oubangui menées par le très charismatique chef Kparinou dans la guerre du Congo-Wara des années 301.525-301.535 (1920-1930) :
« Déjà en 1905 des soulèvements de populations préférant la mort au recrutement [pour le portage] étaient signalés, en particulier dans la région des Mandja touchée par le portage vers le Tchad » (p. 101).

Pour une population globale évaluée environ à 60.000 têtes, l’on parle pour la seule année 301.508 (1903) de plus 10.000 Mandya martyrs décimés par la répression brutale, la famine et les maladies, soit un sixième de la démographie Mandya déjà écornée une à deux décennies plus tôt. C’est que la détermination jusqu-au-boutiste de ces braves Mandya s’est révélée être sans faille, une fois la guerre déclarée face à leurs bourreaux qui ont tout tenté pour les amadouer et/ou les soudoyer : « (…) cadeaux, salaires, tout a échoué aujourd’hui devant l’affolement de cette race mandja, reconnaît Le journal de critique politique & de perfectionnement » (Le Progrès civique, volume 9, p. 14, 1927). Cette terrible guerre de 301.507-301.509 (1902-1905) constitue jusqu’à ce jour un épisode tragique et traumatisant d’une importance capitale dans la mémoire collective mandya. D’ailleurs, nous commémorons cette année les 120 ans du déclenchement de cette révolte.

C’est donc dans ce contexte sociopolitique catastrophique et chaotique que l’arrière-grand-père de Sa Majesté Magistrale Tahéruka 1er, Vertumale Gazawaza fils de Ngara (qui a vécu la bataille de Kaga-Kazangba), donna naissance, il y a plus de 100 ans de cela, à Son grand-père Moïse « Wargwa » Wananga qui, malgré la césure et la rupture culturelle provoquée par l’intrusion du fait colonial, a su préserver, fructifier et transmettre à sa descendance l’héritage traditionnel familial, clanique et tribal Mandya sauvé de l’hubris des colons français. Cette transmission « muette », car non visible publiquement notamment entre les années 301.525 (1920) et 301.565 (1960), a traversé six générations en ligne directe pour parvenir à l’aîné du clan, Fari Tahéruka Shabazz. Face à cette lourde responsabilité du maintien en et de la constante dynamisation de l’héritage ancestral qu’est la tradition politique donc royale du pays mandya, qu’il faudra transmettre aux nouvelles générations, l’héritier légitime de la lignée des Mandya du clan Gbokode, Fari Tahéruka Shabazz, a pris la décision mûrement réfléchie de restaurer, de faire sortir à la lumière du jour, le « groupement politique mandya », en somme la royauté Mandya, dans toute sa plénitude, à partir de l’année 301,616 (2011).

Cela s’est manifesté par la désignation d’une nouvelle dynastie, la Maison Nésutale Zaria-Shabazz. Le nom de cette nouvelle dynastie renvoie à deux réalités historiques. L’une lointaine, la tribu des Banu Shabazz dont nous sommes issus et qui fut menée par le Maître Bès, après avoir quitté, il y a 50.000 ans de cela, la riche zone afrabique (Vallée du Nil, Péninsule arabique) pour s’installer au cœur du continent d’Alkébulan et Abzu. L’autre partie du nom dynastique renvoie à SAR la Princesse Zaria, grand-mère maternelle de Sa Majesté Magistrale Tahéruka 1er, qui symbolise l’Impeccable Fatima Zahra, fille du prophète Muhammad Ibn Abdallāh, et éminente membre des Ahl ul-Bayt. C’est sous son signe que le monde musulman connu une de ses plus brillantes dynastie, celle des Fatimides, fondée par les Imams Ismaéliens (Chiites septimaniens) installés en Egypte.

À SUIVRE…

Fait à Tubangi le 16 Pa-Bil 301,627

Secrétariat Particulier de Sa Majesté Magistrale et Excellence Royale Tahéruka Ier, Nésut d’Al-Mandya : Wa : Shabazz et Sekhem-Bawantua d’Alkébu-lan et Ab.Zu.